Transporteurs Oneworld Compagnies aériennes américaines et Alaska Airlines Sont le fer de lance d’un nouveau fonds d’investissement visant à mettre à l’échelle la production de carburant d’aviation durable (SAF), affirmant que le carburant à jet de nouvelle génération fournira à l’avenir une économie opérationnelle plus favorable.
Le fonds a recueilli 150 millions de dollars initiaux grâce aux contributions d’Amérique, en Alaska, Cathay Pacific, Japan Airlines, Iag et Singapore Airlines.
L’Américain et l’Alaska se décrivent le 17 septembre comme des «investisseurs de pierre angulaire» et de nouveaux partenaires avec Breakthrough Energy Ventures, un fonds fondé par Bill Gates et autres milliardaires en 2016 pour soutenir les technologies énergétiques moins pollutives.
Le fonds soutiendra la production SAF de nouvelle génération, ainsi que la croissance des «marchés du carburant alternatifs» et des chaînes d’approvisionnement pour répondre à la demande à long terme projetée du secteur des compagnies aériennes, selon les transporteurs Oneworld.
Le directeur général américain, Robert Isom, a déclaré que l’établissement du Fonds SAF avec Breakthrough Energy Ventures est une «décision commerciale», encadrant l’adoption de carburants alternatifs comme voie de réduction des coûts opérationnels et d’atteindre une plus grande échelle.
«Nous pensons que la réduction des émissions de notre opération répond aux demandes de nos clients, rendra notre entreprise plus compétitive et nous permettra de continuer à offrir les énormes avantages économiques de l’aviation commerciale pour les générations à venir», explique Isom.
Ben Minicucci, PDG de l’Alaska, a déclaré que Breakthrough Energy Ventures fournira une «expertise scientifique, technique et commerciale» pour prendre des décisions stratégiques qui «créeront le marché des combustibles de nouvelle génération».
Le fonds cherchera à soutenir les entreprises de croissance précoce qui pourraient potentiellement découvrir des méthodes de production SAF plus efficaces et plus efficaces, et aider ces entreprises à fournir des produits évolutifs.
Un éventail de start-ups explore les voies de production innovantes, comme la fabrication de SAF à partir d’huiles de cuisson usagées et de déchets municipaux.
La technologie SAF actuelle a jusqu’à présent donné une absorption de l’industrie terne, avec un tel carburant constituant une infime fraction de brûlure de carburant à jet mondial. Le consensus de l’industrie est que la SAF reste chère et en manque, les dirigeants mondiaux des compagnies aériennes exprimant le désir d’un meilleur accès à elle.
SAF s’accompagne également de problèmes d’utilisation des terres, surtout si les matières premières telles que le maïs sont utilisées comme combustible à jet plutôt que d’alimentation des populations. Les avantages climatiques très vantés sont également discutables, car il brûle plus propre que le carburant à jet conventionnel mais libère toujours du dioxyde de carbone dans l’atmosphère supérieure de la Terre.
Mais avec Airbus et Boeing peu susceptibles de lancer des plateformes d’aéronefs commerciaux de nouvelle génération plus efficaces avant le milieu des années 2030, SAF reste l’espoir le plus immédiat du secteur des compagnies aériennes pour freiner la pollution de l’air.
Notamment, l’Alaska Air Group a pour objectif d’atteindre les émissions de carbone nettes de zéro d’ici 2040, 10 ans avant l’objectif de l’industrie de 2050.