Canada Explorer l’achat d’une plate-forme de chasse autonome pour compléter F-35AS

Canada Explorer l'achat d'une plate-forme de chasse autonome pour compléter F-35AS

Le Canada explore l’acquisition potentielle de jets de combat non mélangés qui pourraient être jumelés avec la flotte planifiée de la Royal Canadien Air Force (RCAF) des combattants de Lockheed Martin F-35A.

Documents obtenus par Le Presse canadienne Indiquez que le ministère de la Défense nationale recherche des options pour aligner la nouvelle classe d’avions, qui sont alternativement connus sous le nom de plateformes collaboratives autonomes (ACP) ou aéronefs de combat collaboratifs.

Reportage par Le Presse canadienne Indique Ottawa estime qu’une flotte d’ACP pour compléter les 88 F-35as prévues par le Canada pourrait être acquise pour environ 16 milliards de dollars canadiens (11,6 milliards de dollars).

On ne sait pas quel avion Ottawa évalue pour un programme de chasse non lié potentiel, qui est toujours au stade exploratoire.

Les États-Unis sont de loin le leader du développement de l’ACP au sein de l’alliance occidentale, plusieurs entreprises américaines volant déjà des jets non liés.

General Atomics Aeronautical Systems pilote le MQ-20 Avenger depuis plus de 10 ans dans un rôle de développement technologiquetandis que le Kratos XQ-58 Valkyrie a enregistré des vols depuis 2019, y compris les programmes de test avec l’US Marine Corps et l’US Air Force (USAF).

Ce dernier espère bientôt prendre une décision d’approvisionnement sur son premier combattant non créé par le FQ dans le cadre du programme Collaborative Combat Aircraft (CCA), avec un grand nombre de jets opérationnels en service d’ici la fin de cette décennie.

General Atomics et Anduril se préparent à voler prototypes compétitifs Pour l’incrément, un effort CCA dans les prochaines semaines. Les deux sociétés disent que FlightGlobal leurs conceptions seront disponibles pour les clients non américains, avec un intérêt significatif exprimé.

Pendant ce temps, Kratos s’est récemment associé à Airbus Defence & Space offre Une solution basée à Valkyrie à l’armée de l’air allemande.

Ottawa pourrait également poursuivre une conception européenne de l’ACP, bien que les options soient beaucoup moins matures que les offres des États-Unis.

Airframer français Dassault Aviation a volé un démonstrateur à ailes volantes non mélangée appelée Neuron dernière décennie, et prévoit de développer Un successeur plus grand et furtif dans les années à venir. Cependant, cette capacité est pas prévu être opérationnel jusqu’en 2033.

British Defense Fabricant BAE Systems également prévoit de voler Un démonstrateur ACP en 2026, avec ce programme visant à soutenir le combattant Tempest de sixième génération.

Alternativement, le Canada pourrait demander un partenariat pour développer son propre avion au niveau national. La Royal Australian Air Force a poursuivi cette attaque, faisant équipe avec Boeing pour développer la batte fantôme MQ-28.

Anduril a récemment annoncé un partenariat avec le fabricant d’armes allemandes Rheinmetall pour offrir des dérivés produits et soutenus localement de son Fureur ACP aux clients européens, créant potentiellement des options pour le Canada.

Fury est la base du FYQ-44A d’Anduril, qui est finaliste pour la première incrément du programme de l’ACC de l’USAF.

Un tel partenariat avec un fabricant canadien comme Airframer Bombardier pourrait être plausible. Le producteur d’American Rotorcraft Bell exploite également un site de production d’hélicoptère civil à Mirabel, au Québec.

Le Canada est au milieu d’un effort de modernisation générationnel de ses forces militaires, avec des plans pour dépenser des dizaines de milliards de dollars sur des décennies en nouveaux combattants, pétroliers, avions non réalisés, hélicoptères et avions de patrouille maritime.

Les RCAF ajusté L’acquisition de 27 milliards de dollars CA de 88 F-35A Furalth Fighters est au centre de cet effort.

Cette recapitalisation est devenue incertaine en raison de détérioration des relations canadiennes-américaines depuis le retour du président américain Donald Trump, certains responsables canadiens appelant maintenant Ottawa à réduire son achat prévu de F-35 fabriqués aux États-Unis.

Le Premier ministre Mark Carney a promis un examen stratégique du programme d’ici la fin de l’été nord-américain.