Chaque année, des milliers de Français quittent l’Hexagone pour poser leurs valises dans ce petit pays au cœur de la Méditerranée.
Objectif ? Payer moins d’impôts, profiter du soleil, et vivre une retraite ou une vie d’expatrié plus douce.
Avec son système fiscal attractif, son coût de la vie raisonnable, et ses paysages dignes de cartes postales, il semble être le terrain de jeu idéal pour ceux qui cherchent à fuir la pression française.
Mais derrière la carte postale… se cache une autre réalité.
Une popularité qui dérange
Ces dernières années, la présence de Français n’a cessé d’augmenter.
En 2023, on estime à plus de 30 000 le nombre de ressortissants installés sur place.
Un engouement qui ne plaît pas à tout le monde.
Dans les villes les plus prisées, les habitants commencent à se plaindre : loyers en hausse, quartiers transformés en résidences secondaires, culture locale diluée.
Certains vont même plus loin.
Sur les murs, des tags en anglais et en langue locale : “Go home”, “Ce n’est pas un musée”, “Respectez notre île”.
Des restrictions inédites
Face à cette situation, les autorités locales ont décidé d’agir.
Les nouveaux arrivants doivent désormais répondre à des critères plus stricts pour obtenir leur résidence.
L’immobilier est de plus en plus réglementé pour éviter les achats étrangers massifs.
Et plusieurs communes ont interdit la location de courte durée dans les zones historiques.
Des mesures qui visent directement les expatriés.
Des Français pris pour cible
De nombreux témoignages circulent en ligne.
Certains racontent avoir vu leur loyer multiplié par deux en un an.
D’autres évoquent des tensions dans les écoles, au travail, ou même au supermarché.
Une femme raconte avoir entendu un commerçant murmurer “encore une Française…” en refusant de la servir avec le sourire.
La lune de miel semble terminée.
Et ce pays… c’est ?
Il ne s’agit ni du Portugal, ni de l’Espagne.
C’est Malte qui, autrefois terre d’accueil chaleureuse pour les retraités et entrepreneurs français, commence à montrer les dents.
Entre rejet silencieux et mesures politiques restrictives, la question se pose : Malte veut-elle vraiment encore de nous ?