Les conclusions préliminaires des enquêteurs concernant le jet d’accident de jet régional Air Air à Toronto confirment l’impression initiale que l’avion présentait peu de poussées avant l’atterrissage dur.
Le manuel d’opérations de vol pour le MHIRJ CRJ900 indique qu’une fusée d’atterrissage doit être lancée à 20 à 30 pieds au-dessus du sol.
Les pilotes devraient augmenter la hauteur pour ralentir le taux de descente, puis maintenir la pression arrière sur le joug de contrôle à 20 pieds pour maintenir l’attitude, tout en réduisant la poussée au réglage inactif.
Le pas au toucher doit normalement être d’environ 3 ° -8 ° en fonction de la vitesse de référence – le CRJ900 a un long fuselage, et les équipages risquent une frappe de queue si la hauteur augmente au-delà de 11 °.
Mais le Conseil de sécurité des transports du Canada a révélé que la hauteur de l’avion Endeavour n’était que de 1 ° au touché.
L’enquête sur l’accident du 17 février n’a pas encore conclu des conclusions sur le manque de poussées.
Mais cela aurait réduit la composante de portance et empêché l’arrestation d’une descente rapide qui semble avoir commencé après que le jet a rencontré une rafale de vent à environ 150 pieds.
Cette rafale «croissante» a augmenté la vitesse à 154kt, indique l’enquête, au-dessus de la vitesse de référence pour l’approche, et l’équipage a réduit la poussée.
Mais le taux de descente a augmenté à plus de 1 100 pieds / min et, selon le conseil de sécurité, le seuil pour un atterrissage dur est de 600 pieds / min.
L’enquête n’a pas indiqué pourquoi l’attitude de l’avion est restée largement plate, mais le manque de poussées aurait peu fait pour ralentir la descente.
À la suite du taux de descente élevé et d’une légère banque droite, le jet a atterri lourdement sur son auto-atterrissage principal à droite qui s’est effondré sur le touché, 420 pieds au-delà du seuil de la piste 23.