Les «trois grands» de la Chine pour étendre la séquence de pertes de perte de défis économiques et géopolitiques demeurent

Les «trois grands» de la Chine pour étendre la séquence de pertes de perte de défis économiques et géopolitiques demeurent

Les trois plus grands transporteurs de la Chine – Air China, China Eastern Airlines et China Southern Airlines – s’attendent à prolonger leurs séquences de pertes post-pandemiques pour la première moitié de l’année, blâmant un tour de défis économiques et géopolitiques.

Sur les trois, seule China Southern s’attend à une perte plus forte pour le semestre: entre 1,34 milliard de CNY et 1,76 milliard de CNY (187-246 millions de dollars), contre une perte nette de 1,2 milliard de CNY au cours de la même période l’année dernière.

En revanche, Air China et China Eastern devraient réduire considérablement leurs pertes pour le semestre. Air China basée à Pékin prévoit une perte nette entre 17,7 milliards de CNY et 2,2 milliards de cNy, par rapport à la perte nette semestrielle de 2024 de près de 2,8 milliards de CNY.

Pendant ce temps, China Eastern s’attend à une perte nette de 1,2 à 1,6 milliard de CNY, en baisse par rapport à la perte de 2,8 milliards de CNY publiée l’année dernière.

Les «Big Three» ont soulevé plusieurs défis clés pour leurs prévisions financières, malgré une «croissance solide» de leurs opérations intérieures.

Air China note que même si elle «a intensifié les efforts» pour améliorer ses opérations – comme l’amélioration de l’utilisation des avions et des contrôles de coûts stricts – il a toujours été touché par d’autres défis, notamment un «changement à la baisse des données démographiques des passagers» et «d’approfondir les incertitudes» dans la géopolitique mondiale.

Faisant écho à ce sentiment, China Southern a signalé la «lenteur de la chaîne d’approvisionnement mondiale» et «l’augmentation des facteurs instables et incertains dans l’environnement international» parmi les raisons de ses pertes.

China Eastern souligne deux facteurs clés: la «concurrence féroce des prix» entre les opérateurs nationaux, ainsi qu’un «environnement international complexe et volatil».

Ceci malgré la «dynamique positive» dans son réseau national et une expansion internationale des «marchés émergents», ainsi que des efforts pour renforcer la gestion des coûts.

Les trois transporteurs sont parmi les quelques opérateurs mondiaux à rester dans le rouge dans leurs revenus post-pandemiques. Dans les résultats passés, les «trois grands» ont blâmé un déséquilibre dans la reprise nationale et internationale, ainsi que la concurrence, pour leurs pertes.