South African Airways parvenant à se développer indépendamment: ministre des Transports

South African Airways parvenant à se développer indépendamment: ministre des Transports

South African Airways fonctionne indépendamment sans dépendre des garanties gouvernementales, selon le ministre des Transports du pays.

Barbara Creecy a fait référence à la situation de la compagnie aérienne lors de son discours budgétaire en 2025-26 le 2 juillet.

Elle dit que la compagnie aérienne – qui a réalisé un bénéfice pour l’exercice 2022-23, sa première depuis une décennie – a conclu trois des quatre audits en cours.

Le Creecy ajoute que le transporteur «fonctionne indépendamment et ne dépend plus des garanties gouvernementales».

«SAA est autofinancée ses opérations et sa croissance des flacons, tout en restant ouvert à un partenaire de capitaux propres stratégique dans le cadre de sa restructuration à long terme», dit-elle.

Creecy affirme que le transporteur est «bien placé pour stimuler la valeur économique» grâce à des services internationaux élargis, bénéficiant des «actifs non encombrés et de la rentabilité renouvelée».

Il poursuit une stratégie de développement de l’itinéraire «audacieuse» pour renforcer sa présence, tout en entreprenant une expansion de la flotte «mesurée».

Le Creecy a également fait référence à la crise avec laquelle l’industrie sud-africaine des transports aériens a été confrontée plus tôt cette année, en raison d’un mauvais maintien des systèmes de navigation et de surveillance.

Elle dit que «des progrès sont en cours» avec la modernisation urgente de l’équipement et les processus d’approvisionnement sont en cours pour «stabiliser et mettre à niveau» le système de gestion du trafic aérien et recruter de nouveaux membres du personnel.

«Les résultats de la sécurité de divers audits par (fournisseur de navigation aérienne) ATN et le régulateur de l’aviation civile sont fermés», ajoute Creecy.

Bien que la menace d’une suspension de procédure de vol dans des hubs, notamment Johannesburg, Cape Town et Durban, ait été éteinte en avril, elle dit que «encore un travail reste à faire» pour assurer la disponibilité.

«Il y a encore trop de cas, plus que nous ne sommes à l’aise avec les opérations qui dépendent de moyens alternatifs de conformité ou d’exemptions», ajoute-t-elle.

«De toute évidence, cela nécessite un degré d’activité inhabituel et, à cette fin, l’ATNS met en place un bureau de projet pour provoquer l’élimination de l’arriéré qui s’est formé au cours des dernières années.»