London Heathrow Close après que le tir de sous-station a coûté environ 50 millions d’euros

London Heathrow Close après que le tir de sous-station a coûté environ 50 millions d'euros

La fermeture de Londres Heathrow après une panne de courant le 21 mars a eu un impact sur 50 millions d’euros (56 millions de dollars) sur le bénéfice d’exploitation de British Airways et Iberia Parent IAG.

IAG a révélé le chiffre lors d’un briefing au premier trimestre le 9 mai, déclarant que la fermeture avait contribué à une augmentation globale de 8,8% des coûts unitaires non combustibles.

Le tir dans une grande installation électrique connue sous le nom de North Hyde, à l’est de Heathrow, a entraîné la panne de courant.

L’enquête médico-légale sur l’incendie n’a jusqu’à présent pas été en mesure de déterminer la raison derrière elle, selon le 6 mai, les résultats préliminaires de l’opérateur du système d’énergie national.

«La cause profonde de l’incendie reste inconnue», indique-t-il.

Trois transformateurs – désignés SGT1, SGT2 et SGT3 – situés à North Hyde descendant la tension de 275 kV à 66 kV, pour nourrir l’une des trois sous-stations, connues sous le nom de sous-station A, à Heathrow.

Deux des transformateurs, Sgt1 et Sgt3, sont en charge et le troisième, SGT2, sert de veille qui passe automatiquement en cas de problème.

Le transformateur SGT3 a trébuché à la fin du 20 mars, à 23h21, et le SGT2 de veille est devenu actif, restaurant l’offre de deux transformateurs. Les pompiers ont été alertés d’un coup à peu près au même moment.

Mais 28 minutes plus tard, les protections pour SGT1 ont automatiquement déconnecté de l’informatique, et de Sgt2, du système de transmission plus large.

Cela a réduit la puissance de la sous-station d’Heathrow A. La puissance a été perdue dans certains terminaux de l’aéroport et un certain nombre de systèmes partagés pour les opérations aéroportuaires.

Les générateurs d’anneaux de l’aérodrome ont débuté pour maintenir les systèmes de sécurité essentiels, permettant aux avions de continuer à atterrir. Mais comme la panne perturbait les systèmes critiques opérationnels, l’opérateur d’Heathrow a décidé de fermer l’aéroport à 01:11 le 21 mars.

Les ingénieurs de Heathrow ont reconfiguré le réseau d’électricité, en utilisant des interconnexions entre les sous-stations d’admission de l’aéroport, en restaurant la puissance des terminaux d’ici 10h56 et en terminant une réénergie plus large de 14h23.

«Une fois l’électricité restaurée, il y a eu une période de vérification de la sécurité pour permettre à toutes les parties opérant l’aéroport d’accéder à leurs systèmes et de garantir que les systèmes critiques en matière de sécurité étaient pleinement opérationnels avant l’arrivée des passagers à l’aéroport», explique le rapport préliminaire de NESO.

Heathrow a ensuite rouvert ses portes pour les vols de repositionnement et de rapatriement le 21 mars, avec des opérations normales restaurées le 22 mars.