Norse Atlantic Airways envisage d’émettre 9,1 millions d’actions supplémentaires aux investisseurs, suite à la réussite d’un placement privé d’actions qui a généré un produit brut de 613 millions de couronnes norvégiennes (55 millions de dollars), soit plus que les 501 millions de couronnes norvégiennes initialement recherchés.
Le placement privé – destiné à renforcer les liquidités pour la saison hivernale – a abouti à l’attribution de près de 55,7 millions de nouvelles actions au prix de 11 couronnes norvégiennes.
Norse Atlantic avait déclaré que les investisseurs, y compris ses principaux actionnaires Scorpio et BT Larsen, s’étaient pré-engagés sur l’offre globale initiale de 501 millions de couronnes norvégiennes avant la période de souscription officielle.
Il indique que la « forte demande » a incité la compagnie aérienne à augmenter le placement privé à 613 millions de couronnes norvégiennes et qualifie le placement de « réussi ».
Alors que Scorpio s’est vu attribuer la totalité de son pré-engagement de 150 millions de couronnes norvégiennes, la demande a conduit à ce que le pré-engagement similaire de 150 millions de couronnes norvégiennes de BT Larsen soit ramené à sa part au prorata, soit environ 122 millions de couronnes norvégiennes.
Le placement privé sera émis en deux tranches comprenant respectivement environ 9,98 millions et 45,7 millions d’actions.
Norse Atlantic avait précédemment indiqué qu’elle envisagerait une offre ultérieure d’actions supplémentaires aux investisseurs n’ayant pas participé au placement privé.
Le conseil d’administration de la compagnie aérienne a décidé de procéder à l’offre ultérieure – sous certaines conditions – par laquelle jusqu’à 9,1 millions d’actions seraient mises à disposition, au même prix de 11 couronnes norvégiennes.
Cette offre ultérieure vise à « limiter l’effet dilutif » de la levée de fonds privée et, si elle se poursuit, la période de souscription débutera « dès que possible » après la publication d’un prospectus.
Norse Atlantic avait précédemment révélé qu’elle étudiait des alternatives stratégiques pour le développement du transporteur et précise qu’elle nommera un cabinet de conseil spécialisé « internationalement reconnu » au plus tard le 10 novembre.