France et Saab pour négocier l’acquisition de Globaleye

France et Saab pour négocier l'acquisition de Globaleye

L’Agence de l’approvisionnement en défense et SAAB française ont conclu un accord lié à l’acquisition possible de l’avertissement précoce et de contrôle des Globaleye.

La déclaration d’intention, signée au salon de l’Air Paris, reflète l’intention de la France d’obtenir deux exemples et comprend des options pour que la France en obtienne deux autres, explique Saab.

Les deux parties négocieront désormais le contrat final, qui devrait être finalisé dans les prochains mois. Saab souligne qu’il n’a pas encore reçu de commande ferme.

«Nous accueillons l’annonce d’aujourd’hui par la France sur l’intention de se procurer Globaleye, ce qui améliorera la sensibilisation à la situation et la détection des menaces des forces armées françaises à travers les domaines de l’air, de la terre et de la mer», explique Micael Johansson, président et chef de la direction de Saab.

«Notre solution permettra à la France de maintenir le contrôle souverain complet de sa capacité d’alerte et de contrôle précoce aéroportée.»

Par ailleurs, la société de modification de SAAB et la société de modification française Sabena Technics ont un «accord-cadre» lié à l’acquisition possible.

L’accord jette les bases des deux sociétés à travailler ensemble sur les travaux de modification des avions et les services associés pour le Globaleye.

En mai, Saab décrit les plans pour sanglonner considérablementt sa capacité de production pour le globeye.

La société suédoise a jusqu’à présent livré cinq des 6000 Global 6000 fortement adaptés pour lancer l’opérateur des Émirats arabes unis, avec trois autres sur commande pour sa nation natale.

Cirium, une société d’analyse aéronautique, indique que la France aérienne exploite quatre sentinelles Boeing E-3F dans le rôle d’alerte précoce aéroportée. L’âge moyen de ces actifs est de 34,6 ans.

La marine française est également en train de Obtention de trois Hawkeyes de Northrop Grumman E-2D Pour opérer à partir de son seul porte-avions, le Charles de Gaulle. Ceux-ci remplaceront ses E-2CS.